La discrimination entre les êtres humains fondée sur leur religion ou conviction constitue une atteinte à la dignité humaine et un désaveu des principes de la Charte des Nations Unies, et peut être condamnée comme une violation des droits de l’homme et des libertés fondamentales proclamés dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Article 3, Déclaration sur l’élimination de toutes les formes d’intolérance et de discrimination fondées sur la religion ou la conviction, Résolution des Nations Unies 36/55 (1981)
Un résumé des violations des droits de l’homme à l’instigation du Dalaï Lama
Depuis 1996, à l’instigation du 14e Dalaï Lama, le gouvernement tibétain en exil a poursuivi une politique de persécution contre les pratiquants bouddhistes de Shougdèn dans le but de les éliminer totalement de la Communauté tibétaine.
- Dans la communauté monastique, les moines et moniales de Shougdèn ont été soumis à des conversions forcées – forcés de signer des serments d’abandonner leur foi en Shougdèn – ou sinon être expulsés de leurs monastères, les rendant sans domicile et sans ressources.
- Les incitations répétées à la haine ont entrainé de nombreux actes de violence à l’égard des pratiquants de Shougdèn. Des explosions d’attaques violentes contre les pratiquants de Shougdèn se produisent généralement à la suite des discours du Dalaï Lama à la communauté tibétaine.
- Les représentants du gouvernement et des responsables associés d’ONG ont contraint les tibétains en exil à faire allégeance au Dalaï Lama et au gouvernement exil en signant le serment de « ne pas s’associer ni spirituellement ni matériellement » avec les pratiquants de Shougdèn ou quiconque qui n’associerait avec eux, ce qui les expulse complètement leur propre communauté.
- Cet ostracisme a conduit les pratiquants de Shougdèn à se voir refuser l’entrée dans les magasins, restaurants et se sont même vu refuser des soins médicaux, une violation flagrante de leur droit d’accès égal au service public.
- Les modifications apportées à la Constitution tibétaine leur ont retiré leur droit à occuper des fonctions publiques et de faire partie de leur gouvernement.
Toutes ces violations des droits de l’homme proviennent directement du 14ème Dalaï Lama. Lui, et lui seul, est en mesure de remédier à cette crise au sein de la communauté tibétaine en exil.